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Meeks et Murphy présentent un projet de loi sur la stratégie pour Haïti

Washington, DC – Les représentants Gregory W. Meeks, membre de haut rang de la Commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants, et Gregory Murphy, docteur en médecine, ont présenté aujourd'hui la loi SAK PASE (Stratégie visant à répondre aux priorités clés affectant la sécurité et l'autonomisation en Haïti). Ce projet de loi bipartisan exige du Département d'État qu'il élabore et mette en œuvre une stratégie globale pour faire face à la crise qui s'aggrave en Haïti et soutenir un processus de stabilité mené par les Haïtiens.
« L'ampleur des souffrances humaines en Haïti est totalement inacceptable, et nous avons besoin d'une stratégie globale pour y remédier », a déclaré le membre de haut rang Meeks. « Le projet de loi présenté aujourd'hui témoigne de l'engagement bipartisan de la Chambre des représentants à adopter une stratégie globale pour soutenir le peuple haïtien face à la grave crise humanitaire et sécuritaire qui sévit actuellement. Je remercie le Dr Murphy, dont le travail en Haïti en tant que médecin missionnaire témoigne de sa profonde compréhension et de sa compassion, pour son partenariat dans cet effort de soutien au peuple haïtien. » « La sécurité d'Haïti et des Caraïbes est dans l'intérêt de la sécurité américaine », a déclaré le député Greg Murphy, docteur en médecine. « En tant que médecin missionnaire, j'ai passé beaucoup de temps en Haïti et je comprends parfaitement les problèmes qui affligent le pays et le besoin de stabilité. Je suis fier de soutenir la loi bipartite Sak Pase avec le membre de haut rang Meeks et j'ai hâte d'explorer les moyens par lesquels les États-Unis peuvent instaurer la paix en Haïti. »
La loi SAK PASE :
obligerait le secrétaire d'État à soumettre au Congrès une stratégie globale de lutte contre la violence des gangs et de promotion de la stabilité en Haïti dans les 90 jours suivant sa promulgation ;
obligerait le département d'État à consulter les principales parties prenantes lors de l'élaboration de cette stratégie globale, notamment la société civile haïtienne, les partenaires internationaux tels que l'UE, le Canada et la CARICOM, ainsi que les Nations Unies et d'autres organismes internationaux ;
Et obligerait le secrétaire d'État à soumettre au Congrès un rapport décrivant les progrès réalisés dans la mise en œuvre de la stratégie au plus tard 120 jours après sa soumission, puis chaque année pendant cinq ans.

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